La semaine passée, la Russie et la Corée du Nord étaient au cœur de plusieurs actualités cette semaine. Elle était pointée du doigt pour la cyberattaque qui avait touché les jeux olympiques de Corée du Sud, en passant par les lignes de la Corée du Nord.
Pourtant, des nouvelles informations viennent confirmer ce que l’on savait déjà: identifier le réel auteur d’un crime est une véritable gageure. Les articles ci-dessous confirment l’ingéniosité utilisée pour manipuler les informations qui pourraient permettre de désigner l’auteur de ces attaques perfectionnées #APT.
Des chercheurs de Kaspersky Lab ont révélé récemment de nouveaux détails sur la façon dont un groupe d’attaque sophistiqué derrière les cyberattaques contre le récent réseau des Jeux Olympiques d’hiver de 2018.
Voici différents articles sur ces dernières informations en lien avec la cyberattaque des jeux olympiques de Corée:
Olympic Destroyer: who hacked the Olympics?
Experts from Kaspersky Lab studied digital evidence related to the hacking attack on the 2018 Olympics in search of the actual attacker.
Olympic Destroyer’s ‘False Flag’ Changes the Game
Kaspersky Lab researchers uncover evidence of how the attackers who targeted the Winter Olympic Games impersonated an infamous North Korea hacking team.
Surprise: Norks not actually behind Olympic Destroyer malware outbreak – Kaspersky
Who framed Pyongyang, then, we wonder
Olympic Destroyer: A False Flag Confusion Bomb
Researchers say the case of Olympic Destroyer malware show how threat actors can manipulate “geopolitical agenda” with false flags.