L’ancien directeur de la sécurité d’Uber a évité la prison après avoir plaidé coupable pour avoir tenté de dissimuler une violation de données massive qui a eu lieu en 2016. La société de transport avait été victime d’un piratage où les données personnelles de 57 millions d’utilisateurs et de 600 000 chauffeurs avaient été compromises. Au lieu de signaler l’incident aux autorités compétentes, Uber avait choisi de payer les pirates informatiques pour qu’ils suppriment les données volées et garder le silence sur l’incident.
Cependant, les autorités ont finalement découvert la tentative de dissimulation de l’entreprise, ce qui a entraîné des poursuites judiciaires contre son responsable de la sécurité. Il a été condamné à une peine de 4 ans de prison, mais cette peine a été suspendue et remplacée par une période de probation de 5 ans. De plus, il devra payer une amende de 30 000 dollars.
After covering up a data breach that impacted the personal records of 57 million Uber passengers and drivers, the company’s former Chief Security Officer has been found guilty and sentenced by a US federal judge.
Update 05/05/23: Late on Thursday, federal judge William Orrick declared Uber’s former head of cybersecurity Joseph Sullivan would suffer no prison time for covering up a massive security breach at the ride-hailing company seven years ago. He is instead being put on probation and must complete 200 hours of community service.
Joe Sullivan won’t serve any serious time behind bars for his role in covering up Uber’s 2016 computer security breach and trying to pass off a ransom payment as a bug bounty. A San Francisco judge on Thursday sentenced the app maker’s now-former chief security officer to three years of probation plus 200 hours of community service, despite prosecutors’ pleas to throw Sullivan in the cooler.