Sans connaître ce cas spécifique, le raccourci est trop rapide si la justice imagine qu’un logiciel antivirus peut stopper une attaque d’un acteur étatique.
Les procureurs albanais ont demandé mercredi l’assignation à résidence de cinq fonctionnaires qu’ils accusent de ne pas avoir protégé le pays d’une cyberattaque menée par des pirates informatiques iraniens présumés.
Les procureurs ont déclaré que les cinq responsables informatiques du département de l’administration publique avaient omis de vérifier la sécurité du système et de le mettre à jour avec le logiciel antivirus le plus récent.
Agence AP
Découvert via cet article de Bruce Schneier qui en rajoute sur cette actualité:
L’étape suivante consisterait à arrêter les responsables des sociétés de logiciels qui ne publient pas les correctifs assez rapidement. Et peut-être les programmeurs pour avoir écrit du code bogué. Je ne sais pas où s’arrête ce raisonnement.
Bruce Schneier