Les accidents majeurs de cybersécurité sont devenus presque monnaie courante en faisant régulièrement la une de nos journaux. Mais malgré toute l’attention que de tels incidents ont attiré ces dernières années, de nombreuses organisations dans le monde ont encore du mal à comprendre et à gérer les cyber-risques émergents dans une société numérique de plus en plus complexe. C’est d’ailleurs un des principaux constats relevé lors de la dernière étude mondiale de PWC sur la sécurité de l’information.
La cyber-résilience comme action prioritaire
Au fur et à mesure que notre dépendance à l’égard des données et de l’interconnectivité augmente, le développement de la résilience pour résister aux cyber chocs, c’est-à-dire des événements à grande échelle avec des conséquences perturbatrices en cascade, n’a jamais été aussi important selon les avis récoltés.
Dans le sondage mondial sur l’état de la sécurité de l’information (GSISS) de 2018 de PWC, 40% des répondants d’organisations utilisant la robotique ou l’automatisation déclarent que la perturbation des opérations serait la conséquence la plus critique d’une cyberattaque sur ces systèmes. Malgré cette prise de conscience, les entreprises restent souvent mal préparées pour les traiter.
Strengthening digital society against cyber shocks
Massive cybersecurity breaches have become almost commonplace, but many organizations still struggle to manage emerging cyber risks in an increasingly complex digital society.
et le rapport général:
Cliquer pour accéder à pwc-strengthening-digital-society-against-cyber-shocks.pdf
A propos de l’étude:
L’enquête Global State of Information Security® 2018 est une étude mondiale réalisée par PwC. Elle a été réalisé en ligne du 24 avril 2017 au 26 mai 2017.
Les résultats discutés dans ce rapport sont basés sur les réponses de plus de 9 500 CEO, directeurs financiers, directeurs informatiques, responsables de la sécurité, directeurs de la sécurité informatique de plus de 122 pays. 38% des répondants proviennent d’Amérique du Nord, 29% d’Europe, 18% d’Asie-Pacifique, 14% d’Amérique du Sud et 1% du Moyen-Orient et d’Afrique