Facebook, Paypal, BitCoin et d’autres acteurs sur internet ont créé leur propre monnaie. Avec l’avantage d’être indépendant d’un compte bancaire, elle est destinée à acheter des services ou des produits qui n’ont rien de virtuels.
Basé sur le principe d’un porte-monnaie disposant d’un montant prépayé, les dernières analyses montrent que ce principe de monnaie électronique, ou e-monnaie, ne cesse de se développer mais n’atteint aujourd’hui que 0.02% des paiements nationaux selon la BCE. Néanmoins, même si ces chiffres sont faibles, il ne faut pas négliger la force des communautés sur internet qui pourrait faire exploser ces valeurs très rapidement.
Sur ce thème, l’unité de recherche de la Deutsche Bank, DB Research, a publié le 11 mai dernier une analyse des opportunités et de l’évolution que l’on peut attendre de la monnaie électronique et dont vous retrouvez le lien ci-dessous.
As suitably equipped e-money schemes allow anonymous payment at a cheaper cost than, for example, credit card payments, e-money schemes could be positioned as strong competitors to credit cards in the context of remote payments via the Internet in the near future. So far, the share of e-money transactions in national payments is still small (see chart 7). Complexity might be one of the reasons why growth in e-money use is still modest: standards for e-money need to be high as it needs to be protected against fraud and convertibility. Furthermore, e-money needs to be negotiable (peer-to-peer), anonymous and it needs to be controlled for double spending.